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Nouvelle Gamme Electrifiée de NISSAN



Samedi 11 juin 2022 à Montlhéry


Merci à Nissan, Gregory Neve et Gregory Hudebine, Pierre, l'équipe ambassadeurs, Publicis, Justine, Nesrine, Guillaume... et tous ceux que je ne cite pas.

 

Nous nous rendons ce matin Hugo et moi à la piste de Linas Montlhéry dans le 91 à l'invitation exclusive de Nissan.

Départ à 7h30 avec deux ou trois arrêts recharge de prévus, Electra à Beaune, une borne Sdey et une Ionity sur l'aire de Nemours.



 

Après 455km nous arrivons pile à 14h à l'anneau de vitesse de Montlhéry datant de 1924


 

Hugo et moi faisons connaissance avec l'équipe puis nous tournons autour du Ariya qui figure en compagnie d'une Formula e et d'un Quashqai dans une salle de conférence.

 
 

Nous commençons par le Juke Hybrid que l'expert nous présente comme un e-power. Nous émettons de sérieux doutes dans notre for intérieur...


Bien fini, fun à l'extérieur et confortable à l'intérieur, sa conduite sonore ne nous emballe pas, habitués que nous sommes de l'électrique.

La e-Pedal améliore les choses et l'agrément est là si on ne le sollicite pas trop sinon le trois cylindres s'emballe et concurrencerait presque une Toyota.

Look urbain branché, son bose et conduite cool sont ses principaux atouts

 

Nous passons ensuite au e-Power. Sorte de groupe électrogène qui alimente la batterie d'un Quasqhai entrainé par un moteur électrique de 160kW.


L'ambiance est plus cossue, la voiture plus routière. On entend le thermique demarrer et tourner dans le vide comme dans une hybride. Mais dès que la e-Pedal est enclenchée, le moteur essence est moins sollicité, la poussée est franche et la régénération aussi. On a été bluffé car on a retrouvé le plaisir de la conduite électrique. Mais nous, c'est quand même pas notre truc de mettre de l'essence dans une voiture électrique. Cela dit le concept est vraiment bien maitrisé, et le Quashquai e-power bien plus agréable que le Juke hybride.

 

Nous finirons en beauté avec Ariya. Le confort est royal. La version 87kWh affichait une autonomie dérisoire, certainement due aux conditions d'essai d'une version peut-être de présérie. L'affichage tête haute m'a convaincu, comme dans le Quasqhai. La tenue de route est encore plus confortable, la e-Pedal et le freinage très doux contrairement au Quashqai dont la toute fin de freinage entre régénération et plaquette s'est avérée brusque.

 

C'est pas tout ça, mais après une petite interview il était déjà 18h et temps de rentrer sur Lyon. 900km dans la journée en électrique... (le e-Soul a encaissé 6 recharges rapides) Ce n'est pas à nous qu'il faudra faire croire qu'on ne peut pas voyager en électrique!



Sébastien GALL président fondateur du e-France Café



 


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